La fascination :​
Ce sont des êtres que l’on admire, ils sont "brillant", séduisants, charmants à la limite de la perfection. Non, en fait, ils semblent absolument parfaits … pendant un temps seulement, ensuite c’est autre chose…
 
Endormir la vigilance:​
Au moment où on pourrait se poser des questions, il fera marche arrière pour ne pas se faire démasquer.
 
Commencer la dévalorisation insidieuse​ :
Une fois la proie acquise, il soufflera le chaud et le froid.
À de courts, mais intenses moments de bonheur, succéderont de longues périodes où rien n’ira plus où il distillera quelques petites remarques cyniques qu’on oubliera vite : « si tu avais eu plus d’intelligence, tu aurais compris... », « Mon pauvre tu es vraiment nul »,« tu ne sers à rien ! » « Non mais tu as vu ce que tu es devenue ?!!!! », «Sans moi il ne serait rien » ...
Mais ce sera alors devenu habituel et peu à peu la proie, "la victime" ne s’en rendra même plus compte, comme si tout cela était normal. Elle se sentira chaque jour plus bête, plus dévalorisée « après tout c’est de ma faute, je suis mauvaise ». En réaction aux conduites sadiques, elle se dira « j’ai mal compris, il ne peut pas être si méchant » elle se sentira alors d’autant plus lamentable, qu’il l’aura persuadée que c’est une faveur qu’il lui fait en restant avec elle.
 
L’isolement​ :
Il coupera peu à peu la "victime" de ses amis de sa famille, de son travail même. Il mobilisera tout son temps, lui parlera de la mauvaise influence de ses relations, de ses mauvaises fréquentations, sa famille sera nuisible. Alors totalement isolée, elle sera devenue « la chose » du pervers narcissique.
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Les choses importantes pour le PN :​
Tout ce qui lui donne du pouvoir : L'argent et Le sexe.
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La Victime​ :
Il faut être deux dans ce "jeu", les P N ne choisissent donc pas n'importe qui :
Gardez bien à l'esprit que toutes leurs victimes sont souvent des personnes très intelligentes, qui manquent de discernement affectif. Lorsqu’ils rencontrent leurs cibles, elles sont généralement en situation de faiblesse après une rupture sentimentale, un deuil. Dans des moments de doute, d’abandon, de solitude et donc de très grande fragilité. Elles sont donc à point pour se soumettre à l’illusion d’un amour total et extraordinaire. La réussite de la manipulation dépend donc de leurs prédispositions psychologiques.
 
Et ensuite ?​
Lorsqu’il ne nous reste plus rien que ce tyran domestique et que l’on se sent tellement diminué(e), comment s’en sortir ? 
D’autant qu’il existe un véritable attachement à ce manipulateur « syndrome de Stockholm».
Il est très difficile de quitter un PN, il ne se laisse pas faire, il a tout organisé pour que ce soit impossible.
Certaines personnes les quittent pour que leurs enfants ne subissent pas cela.
Ce que l’on accepte pour soi-même, on ne l'accepte plus pour eux.
Il faut beaucoup de force et de courage pour y arriver. Protéger ses enfants donne cette force..